Contraria sunt complementa?
Quand je descends en moi-même au fond du fond de la conscience, je ne
trouve absolument rien, ni le contenu de la connaissance et ni la potentialité
de la personnalité. Et beaucoup de plus! Tout que je rencontre est totalement
de la folie: je ne sais rien de la cause de la connaissance en moi! Et tout pour
la surprise: là se trouve tout ce que je sais de moi avec l'inquiétude devant
moi. Je ne retrouve pas seulement mes souvenirs, mes impressions et ma
connaissance en moi, mais aussi la connaissance des choses sans
compréhensibilité devant moi. Elles sont présentées sans aucune trace de la
notion pour moi: elles existent dans la raison sans la loi
«connaissance de soi» pour moi. Pour le problème: comment
est possible l'existence de la reconnaissance avec des choses devant moi et des
goût familiers en moi? Le sujet du problème est ainsi bien connu:
-la
condition de la reconnaissance des choses travaille en moi sans les
notions pour la totalité de la connaissance des
choses devant
moi.
Assez!
Cet événement s'est opéré évidemment
du dehors et sans les choses pour moi! Mais comment sans la
connaissance de soi?
«Something
is rotten in the state of Denmark!»
Le
problème de la compréhension dépend souvent de la nature de la
langue. Je trouve, par exemple, une difficulté aussi dans la langue
française. Nous savons que la langue
latine contient
une précision: il faut
distinguer entre
mens
(=mind, mente, Vernunft, … )
et
ratio (=reason,
razione, Verstand, … ).
La différence est claire:
- mens
et ratio sont les activités mentis (=dans
l'esprit comme software mentis)
et rationis (=sans
l'esprit comme hardware mentis)
en moi.
Cette différence est cependant invisible
dans la langue
française. Dans la pensée ou le sens
(=
mens est la pensée avec le
sens).
Mais, le problème pour
mens
-qui
est le moi? (=ici est le problème de la
connaissance)-
n'est pas le problème pour
ratio
-quoi
est le moi? (=ici est le problème de la
condition de la connaissance).
En tel sens le problème est donc visible.
Bertrand
Russell a
eu évidemment raison:
-„Whatever
can be thought of has being, and its being is a precondition, not a
result of its being thought of”
So is clear: human knowledge is a product of mind
(=it is thinking)
and ordered by reason (=it
is not thinking but only a condition of knowledge).
Our understanding of the tragedy of
knowledge depends so only on the pure triviality in the thesis:
-the
notion of the truth is absent as a consequenece of the incompleteness
in the link between mind and reason.
Ainsi aussi claire:
-nous
sommes les invalides sans la liaison complète entre mens (=sens)
et ratio (=raison)
pour la notion de la vérité (=l'égalité
entre la nature mentis dans l'esprit et la nature rationis
dans l'
être ontologique de
l'esprit).
Assez pour la naissance de la
pensée religieuse! Tout cela
que je sais en moi au bénéfice de moi dépend
inévitablement d'une réalité de la personne
«anti-moi»
dehors du
«moi». Pourquoi? Très simple: la thèse
-chaque
personne «en-soi» est accompagnée par
une anti-personne «pour-soi»
(=et vice versa)
de soi-
suit nécessairement la
logique et le
sens de la
physique quantique. Cette thèse est bien connue
(=la
particule est impossible sans l'antiparticule et vice versa).
Elle implique généralement une
nouvelle image de la réalité:
-la
vie (=dans la contingence)
est possible seulement comme une composition du jeu entre la
matière (=pour moi)
et l'antimatière (=pour antimoi).
L'argument se trouve dans la structure de la conscience: nous ne
pouvons pas éviter le problème de la subconscience.
Pourquoi le
fond de la conscience existe t-il? Le mystère gouverne derrière
la scène! Assez pour la thèse:
-la
conscience pour moi provient de la subconscience en anti-moi et vice
versa: la conscience pour anti-moi tire son origine de la
subconscience en moi.
Rien que cette thèse offre encore la solution pour la compréhension
de la connaissance sans la loi
«connaissance
de soi». Ainsi, il ne reste que commenter le
problème: où se trouve tout maintenant mon anti-moi?
Il faut approfondir avant tout: le cadre général de la physique est
aujourd'hui encore inconnu. C'est ainsi par conséquence de l'absence
d'une théorie pour l'unification de la théorie générale de la
relativité (=c'est la théorie de la
gravitation) avec la théorie quantique. Au
fond du problème se trouve, justement pour
cela, la thèse nécessaire:
-il
s'agit de la tromperie de la nature comme la cause d'une
impossibilité de l'interaction entre la physique dans la contingence
et l'être de Dieu dans la nécessité!
Le concept d'espace-temps
de
Einstein est correct dans la raison (=
Kant
a eu raison), mais non dans la nature
(=c'est la tromperie),
parce que la substance ontologique pour l'espace et le temps
n'existe pas dans la nature. C'est bien connu dans la physique:
-aucun physicien n'a jamais
touché la substance de l'espace et du temps (=comme
l'objet de l'expérience).
Alors!
-Le
concept de l'espace-temps
ne peut pas exister comme un «objet
mentis» valide
dans la nature contingente pour la totalité de l'existence
nécessaire.
Il
doit être remplacé par un nouveau
cadre de la physique pour la représentation de l'unité du champ
physique. Ce pas de l'unification entre la théorie de la gravitation
avec la théorie quantique demande la révision totale de la
physique. Elle doit éloigner la simulation de
l'espace-temps
et
signaler l'existence de la
structure
physique de l'échange
pour l'unité entre
la matière
et la pensée de la matière.
Oui! La matière et l'antimatière sont le résultat du jeu
«contraria sunt complementa».
Mais ce jeu doit être répété encore une fois!
C'est clair, pourquoi! Parce que la
dualité
particule – onde
se manifeste comme un phénomène de la liaison entre
la
physique et la pensée de la physique.
Où
se trouve maintenant anti-moi? La
réponse est impossible! Les fondements entre la
mentalité et la réalité
ontologique sont totalement innconnus …
anti-moi est possible très loin de moi dans l'espace sans la
connaissance de l'espace et simultanément très près à moi dans
l'esprit sans la connaissance de l'esprit. Tout cela est un peu fou à
la manière
«contradictio
in se»? Non-dum
… bien connu … ex contrario:
-contradictio
non potest habere medium terminium, manifestum est quod inter.
C'est très simple sans la contradiction:
la main droite
(=comme la particule
«proton
»)
n'est pas
la main gauche (=comme la
particule
«antiproton
») par
dépit du fait (=la main droite est la main
gauche
sunt contraria complementa) sans
la contradiction (=les particules proton et
antiproton existent) et sans la difficulté
( … manifestum est quod inter).
La pensée philosophique de
Jean Paul Sartre est ici
inévitablement présente. Parce que mon jeu est plein de la
ressemblance. Sartre distingue pour la différence l'être de
«l'en-soi» qui
coïncide avec
«soi» et l'être du
«pour-soi»
(=conscience). La
conscience est ainsi chez lui la source du néant dans l'être
(=parce qu'elle est liberté, parce qu'elle
est sa propre néantisation). Chez moi
c'est plus simple et tout sans la situation
«paroxismus» chez
Sartre:
-« l'être, pour le pour-soi,
c'est néantiser l'en-soi,
qu'il est ».
Assez pour la définition sartrienne
-l'homme
est ce qu'il n'est pas et n'est pas ce qu'il est-
avec la conséquence sartrienne (= l'homme
est l'échec)
-autrui
est (=le moi se sent regardé) un
élément de désintégration de la personnalité.
La
difficulté basilaire de la physique se trouve dans le préjugé
qu'elle est limitée exclusivement sur la réalité de la matière:
cette idée doit être abandonnée.
Elle propose insolemment la priorité du fondement matériel. Mais ce
pas est l'obstacle pour l'entendement de la physique quantique avec
la présence évidemment dans le champ d'idéologie … dont l'espace
d'intervention est politique avant d'être scientifique. Parce que
l'esprit humain du passé
ne veut pas encore
accepter
l'évidence expérimentale à présent:
-un
électron (=comme la particule de la
matière ne comprend rien), mais un
électron (=comme l'onde de la matière)
comprend tout avant la décision libre de l'homme dans l'expérience.
D'où
est l'information de cette connaissance?
L'esprit du doute
est plus fort que la raison du fait! Dommage ou non? Je ne sais
pas! Mais très possible, malgré tout cela, il
s'agit aussi d'un problème de la
psychologie …
Rien
que la nature non-pensante
(=les
médicaments)
peut décisivement
changer la nature pensante de l'homme. Mais l'homme seul peut d'autre
part changer la nature non-pensante
aussi avec succès. Pour la question: quelle part est plus forte? La
réponse est catégoriquement un paradoxe: la nature est plus forte!
Sans la compréhension: peut elle penser? Non! Pour le problème:
-comment
la nature morte (=non-pensante)
produit, par exemple, les médicaments pour la conservation de
la vie?
Oui,
à la défense de la vie appartient une législation qui ne
peut pas être comprise sans l'entendement de la législation
précédente. Ici est la cause de la difficulté:
-quel
sens appartient à l'activité de la nature dans la logique sans la
possibilité de la notion pour la vérité?-
ou
-quel
sens appartient à l'activité de la logique dans la nature sans
l'explication du phénomène «paradoxe»?
Aucun!
Parce que il ne s'agit pas d'un paradoxe … il n' est que
l'expression de l'impossibilité dans la pensée sous la compétence
de la logique avec la valeur
«nécessaire», qui
est la
transcendance de
la valeur
«contingente»!
Où se trouve maintenant la solution du problème? Justement
là où est le problème
«contraria sunt complementa» pour
l'unité de la physique:
-la
physique sans la pensée de soi (=Einstein) et
la physique avec la pensée de soi (=Bohr)
sont un même
«corps» les deux «mains» de la vérité sans la compréhension
dans la réalité de la contingence.
Elles
appartient seulement à
l'être
nécessaire (=Dieu).
Sans la compréhension possible. Parce que un
flanc
(=Einstein)
de la compréhension
(=la physique)
n'est pas l'autre flanc
(=Bohr)
de la compréhension
(=la
pensée de la physique). La
tension entre
Einstein
et
Bohr
présente un drame de la vie:
«Dieu
ne joue pas aux dés» (=Einstein)
et «Qui êtes-vous
Albert Einstein pour dire à Dieu ce qu'il doit faire?» (=Bohr).
Ce
drame présente aussi un drame de la tension dans la thèse
«contraria sunt complementa».
La vie,
comme
la roulette des quanta,
finit ainsi toujours
avec la déclaration de croupier
-rien
ne va plus!-
pour la décision
«tout ou rien?» dans la réalité de la
nécessité. Elle est très simple:
-la
possibilité «tout» est la rencontre entre «moi» et «anti-moi»
pour le succès d'existence: l'état «moi en moi» est la réalité
de la nécessité-
et
-la
possibilité «rien» est l'échec de la vie sans la présentation de
l'horreur après la perte d'existence «moi en moi» avec le fait
d'arriver dans l'état d'existence «paradoxe».
Oui! Toute la vie est un jeu de l'esprit entre la vérité et le
mensonge. Le paradoxe de
Epiménide ainsi annonce: un Crétois
a dit
-Tous
les Crétois sont des menteurs!
Mais il est un menteur étant Crétois: avec la conséquence
-la
vérité implique le mensonge et le mensonge implique la vérité!
La fuite de la difficulté est maintenant possible
seulement à traverse de la thèse
-un
Crétois ne peut pas exister sans l'existence d'un Anti-Crétois-
avec la déclaration de la part opposée
-Tous
les Crétois ne sont pas des menteurs!
Mais
un Anti-Crétois
vit naturellement avec le même
problème
-Tous
les Anti-Crétois
sont des menteurs-
et
la logique des Anti-Crétois
peut être sauvée seulement au travers de la thèse des Crétois
-Tous
les Anti-Crétois
ne sont pas des menteurs!
Assez
pour le sauvetage de la logique. Parce que l'homme aide à
l'anti-homme et
vice versa. Mais comment? Où est la condition pour l'existence d'une
telle réalité? Le sens de la conscience est clair. Le sens de
l'inconscience aussi. Mais quel est le rôle de la subconscience? Je
vois le lien entre l'homme et l'anti-homme
à peine maintenant:
-le
contenu de la conscience en l'homme vient de la subconscience de
l'anti-homme
(=et
vice versa)-
ou
-l'homme
et l'anti-homme sunt contraria complementa!
Il n'existe pas une autre possibilité de sauver l'être de la
logique. Mais non encore complètement. Il faut comprendre: la
déclaration
-cette
déclaration est le mensonge en soi-
ne dit rien du sujet de la déclaration! Assez pour la conclusion:
ici est le paradoxe vrai et en soi. Et assez pour la thèse:
-la
déclaration paradoxale est possible seulement dans la réalité sans
le sujet!
Donc, elle peut être référée seulement à la réalité
paradoxale. C'est la contingence sûrement. Sans l'homme et sans
l'anti-homme. Avec la
logique externe
pour la compréhension du monde: là sont les présentations humaines
très limitées. C'est vrai ainsi: le
loi de la causalité est
souveraine! Par exemple! Il dit: la force
de la gravitation décrit la structure métrique de l'espace-temps
avec l'ambition
«être causale». D'autre part, au domaine de
la pensée et de la
logique interne, la causalité est sans la
puissance. Par exemple: la clarté
-«x
est plus grand que y» et «y est plus grand que z» impliquent «x
est plus grand que z»-
ne
laisse pas l'activité d'aucun travail dans le cerveau. Où
était donc la cause de l'événement? Il n'existe qu'une possibilité
dans le travail entre la raison (=ratio)
ontologique et le sens (=mens)
spirituel
-
la cause de l'événement était la nécessité comme la cause d'elle
même!
La vie est très chère. La substance de la vie est l'énigme. C'est
une information très importante, non seulement pour la connaissance,
mais aussi pour la politique! Parce que la substance de la vie est
indestructible. Donc, la thèse
«la destruction de la
personnalité est possible» était l'erreur dans ma
connaissance. C'est ainsi à cause du fait
-contraria «moi en moi» et «moi sans
moi à la réalité de l'anti-moi»
sunt complementa-
qui explique l'horreur de la maladie
«scission de la
personnalité»: la passion est inévitable ... l'homme veut la
mort … mais elle ne vient pas … elle n'existe pas … c'est
l'état de l'horreur … tout bien connu à moi pour la connaissance
de la compréhension de cette maladie:
elle est erronée!
Assez pour la compréhension de la thérapie:
contraria
-«la vie comme l'état de la
maladie en corps» et «la pensée de la vie comme l'état de la
santé en esprit» sunt complementa.
La même chose a lieu aussi pour la
roulette:
contraria
-«la roulette comme l'objet de
la matière exprime l'incertitude totale des événements, par
exemple, rouge ou noir»-
et
-«la pensée de la roulette
comme l'objet de la
probabilité quantique et l’excitation de l'esprit provoque la
curiosité de la connaissance (=pour
le succès) à travers la
structure de la totalité des événements»-
sunt
complementa. Cela signifie:
-la
roulette et l'électron comme les pensées de la roulette et de
l'électron possèdent la propre «sémantique» pour suivre la
langue des pensées humaines.
L'idée est claire: la pensée de l'électron est capable deviner la
décision expérimentale de l'homme. Pour le problème contraire:
pouvons-nous deviner la décision de la roulette et conquérir la
connaissance de la «sémantique» secrète? Le succès ne dépend
pas de la structure des événements, mais de l'état
«conforme
au but» dans le substratum des événements. Là-bas
est le secret de la roulette.
Tout ce que nous voyons est le monde visible dans la
mer immense
du monde invisible. Assez pour la peur:
aucun physicien a vu
l'image de l'électron. Tout ce que nous voyons cache quelque
chose d'autre. Parce que l'électron
après la rencontre avec
le photon n'est plus l'électron
d'avant la rencontre avec le
photon. Ceci est claire: l'électron
pour soi n'appartient pas
évidemment à la réalité visible à la physique. Que fait-il
ici?
Il vient de l'obscurité de la réalité inconnue. Cette
réalité est intangible. L'onde de la matière parle cependant avec
la certitude: le monde invisible comprend le monde visible. Comment?
C'est le mystère. Nous ne savons rien. La thèse
«contraria sunt
complementa» reste maintenant sans le commentaire. Que
reste-t-il de notre curiosité? Seulement
le silence. Mais assez pour l'espoir:
-le
monde invisible de la pensée de la
physique (=pour nous)
est le monde plein de la lumière de l'esprit.
Il existe comme une garantie pour nous:
-prendre
la fuite de l'existence est impossible après la vie dans la
contingence.
Oui! L'existence de l'homme est un résultat du jeu divin derrière
le rideau de la vérité … mais lui seul reste devant le rideau
sans la connaissance du sens. Deux hommes peuvent,
par exemple, penser identiquement du problème, mais d'usage
sans la concordance dans l'esprit:
-un
homme après cela est gai, mais l'autre homme est triste.
C'est l'homme! Sans la décision claire: qui est savante et qui est
dogmatique? L'un déteste souvent l'autre au jeu de l'esprit entre
connaissance et fantaisie. Tous les deux sont inévitablement les
victimes du paradoxe de
Russell: la guerre entre les pensées
différentes est à la contingence non-sens.
Malgré son histoire, la science n'oubliera jamais la révolution:
-un
homme seul (=Einstein)
contre tous (=à la physique
classique) a consacré le triomphe à la
fantaisie!
C'était l'arrivée de la pensée humaine à la frontière de la
contingence. Et la route progressiste (avance) est évidement sous la
compétence de la physique quantique. Sans la compréhension:
-comment
appliquer des nouvelles règles de la nécessité?
Parce
que ici est la drame de la connaissance: comment comprendre le secret
de la liaison entre la nature et la pensée de la nature? Contraria
sunt complementa
sans la condition?
Où est le sens du secret? Où
est le but de Dieu? …
«solemnidad que complementa al acto;
es un elemento necessario para su creacion» (=Alfredo
Velazquez Tagle).
Je
sens à ce moment que je suis à la croisée des chemins: écrire
avant de savoir, comprendre ou non? Avec le problème: est ce que je
comprends la propre question? Non! Parce que
«je
sens» appartient
à l'âme (=je
peux là seulement sentir quelque chose),
non à la raison (=je
peux là seulement comprendre quelque chose).
Donc! J'ai en moi seulement un sentiment,
non la pensée présentée comme un sentiment, sans la compétence
de la raison: ce sentiment peut être
seulement sous la compétence de l'âme.
Où est
maintenant ma droiture de parler au nom de la vérité dans l'espace
de l'âme? Ce n'est pas possible!
Je ne suis libre que d'exprimer mes sentiments sans l'ambition de la
preuve. Tout ce qu'il reste à l'esprit est la parole inconnue de la
nécessité. La bouderie vient seulement de l'ingéniosité. Par
exemple, un
Propos de Alain:
«Je
ne dispute point. Je contemple avec attention, sans aucun respect, ce
vaste mécanisme qui ne promet rien, qui ne veut rien, qui ne m'aime
point, qui ne me hait point. L'esprit qui le contemple me paraît au
moins son égal, pénétrant même en lui au delà de ce qu'il montre
et, s'il ne le dépasse point en étendue, l'égalant toujours. Non
que l'esprit me semble s'étaler sur les choses, et se diviser et
disperser pour les saisir; au contraire, c'est par l'unité de
l'esprit, sans parties ni distances, qu'il y a des parties et des
distances; car la partie par elle-même
n'est qu'elle, et n'est donc point partie; et la distance entre deux
parties leur est extrinsèque aussi. Il n'est donc pas à craindre
que cette âme sans parties et qui comprend toutes choses aille
s'enfermer dans quelque trou de taupe. Réfléchis un moment; si ton
âme était dans ton corps, elle ne pourrait point penser la distance
de ton corps à d'autres. L'ouvrier de ce grand réseau, il faut
qu'il y soit partout à la fois et tout entier partout; comment y
serait-il pris?
N'aie pas peur. Fie-toi
à ton âme»
La
pensée brillante! Elle nous montre que l'homme porte intuitivement à
lui-
même
la demande de la physique quantique: le concept de l'espace-temps
dans la relativité générale est erroné! La nature confirme cette
thèse! Chaque
coq a la montre en
soi:
il sait bien même sans la montre quand il faut commencer avec le
chant au matin. Parce que il possède la liaison immédiate avec la
nature. L'idée de la montre est évidemment superflue chez lui,
parce que la
nature
est
la
montre en soi.
Ma thèse sonne en chaque cas comme le jeu à la folie. Parce que
nous avons besoin d'avoir la montre. Mais pourquoi? Il faut savoir et
accepter:
nous sommes les
invalides avec la raison et sans la liaison immédiate avec la
nature!
Nous avons besoin d'avoir la logique et la montre. C'est clair pour
la pensée: nous sommes les victimes de la contingence. Avec toutes
les conséquences du péché originel. Parce que un processus
intrinsèque de la pensée empêche d'habitude la
compréhension des événements sans l'objectivité de la
connaissance:
le pont entre mens et
ratio a la vue basse. Mais
non pour l'émotion! Elle appartient à l'âme. La preuve est très
simple et pleine de la beauté:
https://www.youtube.com/watch?v=QxHkLdQy5f0
Parce
que la musique transcende la réalité de la contingence comme la
trace de la voix de l'éternité. Avec un problème: ici c'est
seulement la musique consacrée à la beauté de la nature. Sans la
réponse: qui est l'auteur de la beauté? Il ne reste qu'une
possibilité: c'est l'esprit! Oui! L'esprit ne peut jamais être
battu. Pourquoi? Il porte la beauté. Avec le don très
problématique: le remède ou le poison? L'homme est le côté
lequel doit deviner la valeur du don
… la thèse
«l'univers
est gratuit» est
la faute tragique de la science.
Assez pour la connaissance … rien ne va plus!
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