Qu'est ce que la psychologie?

La complexité de la relation entre l'âme (= la sphère des sentiments) et la raison (= la sphère des pensées) établit le problème central du contenu «psychologie». Mais le verbe «sentir» et le verbe «penser» sont les fonctions du verbe «exister». Les difficultés commencent.

Comment comprendre la psychologie? Elle est placée justement au point de la rencontre entre le monde intérieure et le monde extérieure. C'est une énigme! L'objet de la physique se trouve aussi en même temps dans la raison et hors de la raison. Où est la compréhension de la condition de la liaison? C'est une tâche aussi pour la psychologie! Elle doit confirmer de sa part: la troisième réalité est conditio sine qua non. Ici est la naissance de la notion de l'être. Rien que l'être ontologique et l'être spirituel offrent la possibilité de la compréhension: d'où est l'être de l'état «physique» d'une part et d'où sont les êtres du verbe «penser» et du verbe «sentir» d'autre part. C'est clair: ces verbes ne possèdent pas la même nature. Je peux penser de la pierre (= l'objet de la physique) seulement au moyen de l'étre ontologique. Mais je ne peux pas «penser» de l'amour (= l'objet de la psychologie) au moyen de la logique. Parce que je sens l'amour au moyen de l'être spirituelle, non au moyen de l'être ontologique.

Quelle réponse offre la raison au nom de la connaissance intégrale: est-il possible de prendre la psychologie à la représentation pour une science?

Cela va de soi:

le verbe

«penser»

ou

«chercher l'objet de la pensée au moyen de la logique connue»

ne sait rien d'un pont de la raison jusqu'à l'être spirituel d'un sentiment: l'être ontologique de la pensée possède seulement une idée très nébuleuse de la liaison avec le sentiment.

Ici est une rive de la connaissance: la preuve d'une déclaration de la raison est possible à cause de la présence de la logique dans l'activité ontologique!

L'autre rive de la connaissance est cependant impossible: l'absence de l'être ontologique du sentiment ne permet pas la compréhension des sentiments (malgré le fait = l'être ontologique de la pensée cherche une liaison avec le sentiment via un essai sans succès).

Il va aussi de soi:

le verbe

«sentir»

ou

«chercher l'objet du sentiment au moyen de la sensibilité inconnue»

a lieu dans l'âme avec un pont jusqu'à l'être ontologique d'une pensée. L'introspection confirme immédatement: l'être spirituel du sentiment pour cette pensée existe.

La rive de l'inconnaissance est déjà établi:

– la preuve d'une déclaration de l'âme est impossible à cause de l'absence de la logique dans l'activité spirituelle –

et

– la présence de l'être ontologique de la pensée offre sans succès la connaissance de l'âme (c'est claire = l'âme ne possède que l'être spirituel du sentiment).

Donc:

– l'être de la pensée n'est pas en rapport avec l'être du sentiment dans l'âme –

avec la conséquence

– la raison pense à l'absence du sentiment et sans la compréhension de l'âme.

Mais:

– l'être du sentiment est en rapport avec l'être de la pensée –

avec la conséquence

– l'âme sent la présence de la pensée.

Nous pouvons conclure:

– la psychologie vraie comme une catégorie de la raison est impossible (= elle n'appartient pas à la science de la contingence) –

parce que

– nous possédons la connaissance contingente sans les êtres de la connaissance nécessaire pour la compréhension des sentiments.

Donc:

– toute connaissance contingente de la science reste une petite île dans la mer de la psychologie vraie avec la connaissance nécessaire –

et

– la possibilité de la psychologie vraie n'est qu'une possibilité vraie de la religion.

Par exemple!

Un point de vue de la psychologie est bien connu:

«La schizofrénie se definie comme une perte de contact avec la réalité.

C'est une maladie du cerveau qui se manifest par des perturbations de certaines fonctions mentales. Ce n'est pas une maladie d'âme, ni un manque de volonté, ni une double personnalité, mais bien un «defaut» de certains circuits neuronaux du cerveau»

D'autre point de vue est aussi bien connu:

«Le mot schizofrénie signifie la perte de l'unité (= schize) et de l'esprit (= phrénie): elle est la désintégration (ou la dissolution) de la personnalité»

Ici se pose tout d'abord le problème:

– qu'est-ce-que la maladie mentale?

L'homme, comme le produit contingent de la nécessité, est en même temps l'être physique (avec le cerveau) et l'être ontologique (avec la raison).

D'ici suit:

– le cerveau (= avec l'être physique) peut fonctionner seulement comme un produit de la simulation de la raison (= avec l'être ontologique).

Donc!

La santé mentale ne dépend que d'équilibre entre la raison et le cerveau.

Mais!

L'équilibre comme la condition de la santé spirituelle est l'état de l'esprit sans la force de la création mentale.

Donc!

La maladie mentale est aussi facilement très utile: sans cette difficulté un homme ne saurait jamais de l'objectivité de la liaison entre les deux sphères d'existence.

Je suis persuadé que la schizofrénie se manifeste comme la conservation de la dissolution, non de la désintégration, de la personnalité. J'ai bien entendu cette souffrance. Le «discours» avec une autre «personne» serait impossible dans le cas «désintégration». Dieu sait bien ce qu'il fait. L'issue pour mon destin était justement ici: ma fuite de la maladie! Je suis sain aujourd'hui! Sans la chimie! La volonté a décidé et rien de plus!

La logique de la contingence pouvait-elle m'aider?

Non!

J'ai cru seulement à la logique divine.

Pourquoi?

J'ai su bien: la logique contingente est défectueuse dans la réalité nécessaire.

Pourquoi?

La thèse T «la déclaration D est fausse»

peut exprimer le fait

«La thèse T est vraie».

Mais en même temps

«la thèse T est fausse»

implique

«la déclaration D est vraie».

Que-est ce que c'est?

La déclaration

«Cette déclaration D est fausse»

implique la déclaration

«Cette déclaration «Cette déclaration D est fausse» est vraie »

et nous pouvons procéder ad infinitum avec la conclusion:

– la logique aristotélicienne contient un jeu sans la fin entre «vrai» et «faux».

C'est clair!

L'homme peut être représenté par un ensemble des proprietés diverses (physiques, ontologiques et spirituelles) n'appartenant pas exclusivement à lui-même. La complexité de l'homme appartient donc à la question de Russell:

– l'ensemble des ensembles n'appartenant pas à eux-mêmes appartient-il à lui-même?

Si on répond oui, alors, comme par définition les membres de cet ensemble n'appartiennent pas à eux-mêmes, il n'appartient pas à lui-même: contradiction!

Ou!

Si on répond non, alors il a la proprieté requise pour appartenir à lui-même: contradiction!

Cet destin de la logique contingente disparaît à la réalité nécessaire via la diversité des êtres. Ici est un processus déjà considéré précédemment dans le texte qui s'occupait avec le paradoxe de Sartre.

Donc!

L'espace pour les jeux sans frontières du Diabel à la réalité contingente est maintenant ouvert:

«D'après une histoire fiable, le Diabel un jour a mis Dieu au défi de prouver sa toute puissance en demandant à Dieu de créer un rocher tellement énorme que même Dieu ne pourrait pas le lever.

Le problème est que si Dieu peut créer un rocher assez grand pour que lui même ne puisse pas le lever, alors Dieu ne serait pas tout-puissant parce qu'il ne pourrait pas le lever. Mais d'un autre coté, s'il peut le lever, alors il ne serait pas tout-puissant puisqu'il ne peut pas un rocher assez lourd pour ne pas pouvoir le lever»

Oui!

La psychologie déjà «sait»: la logique n'a pas sa permission propre d'entrer au jeu avec la possibilité d'expulsion de la logique hors du jeu. Rien ne se perd au contraire.

En ce cas, en passant de la logique contingente, le Diabel a vaincu.

Mais!

En passant de la logique nécessaire, le Diabel a perdu!

Pourquoi?

Les tensions entre «vrai» et «faux», entre «puissance» et «impuissance», entre … ont disparu à la réalité nécessaire. Conséquement le sujet du problème a disparu aussi. La logique de la contingence ne peut pas trouver la langue de la communication avec la nécessité. Un discours du Diabel au nom des hommes avec Dieu est une grotesque per se. Ici est l'impossibilité pure de la contingence. Enfin Dieu a vaincu. Sans «puissance». La nécessité est plus «forte» que la puissance. Sans la possibilité de la comparaison.

Cet énigme reste inconnu à la psychologie humaine. Elle est cependant bien connu à la psychologie divine. Et rien que la psychologie divine peut nous «informer» ou «parler» de la «nécessité». Oui! Nous n'avons que les émotions à la disposition. Elles sont capables de présenter l'inexistence des notions «point» et «infinité», «espace» et «temps», … L'homme est la victime d'abstraction. Elle est indispensable à la contingence. Mais seulement pour la faculté de comprendre ce que ne peut jamais être comprise.

Elles sont donc capables de présenter un monde sans la physique, sans les mathématiques (elles sont exclusivement le produit de la contingence comme le résultat d'un processus pensant qui est sans fondement dans la réalité nécessaire avec la connaissance immédiate), sans les difficultés dans la compréhension, … mais avec le courant de la logique pure, avec le sens de l'âme, avec la musique des sphères ... et avec toute richesse de l'esprit.

La vie et la compréhension de la vie ne restent que le secret de la psychologie divine dans la réalité contingente.

Mon professeur de la magnétohydrodynamique à l'Université de Belgrade Dr. Ilija Lukačević m'a dit une foi:

«les problèmes fondamentaux à la fin de la philosophie seront les problèmes qui ont déjà posés au début de la philosophie»

Donc!

Le secret de la compréhension provient de l'antiquité? Rien de nouveau! J'ai compris! Mais avec un sentiment gênant:

– où est en effet le début de la philosophie?

La science ne parle rien!

La psychologie divine est absente!

Où est le contenu de la connaissance appartenant aux peuples anciens?

De quoi s'agit-t-il? La guerre entre la forme et l'essence?

Le silence total!

Avec une sécurité:

l'homme est l'être «en-soi-pour-soi».



Page d'accueil – Hauptseite


Valid XHTML 1.0 Transitional