Qu'est-ce que la volonté?
La pensée (= non réalisée) est la chasse de la raison dans la sphère de la logique. Elle cherche les relations ontologiques avec le but: la pensée (= réalisée) doit confirmer le fait que la raison a trouvée une construction mentale pleine de sens. Le verbe «chercher» et le verbe «penser» sont les mêmes comme la confirmation du succès.
Mais la pensée (= réalisé) en soi! De quoi s'agit-t-il? L'objet de la raison dans la raison ne peut être pensé au moyen de soi-même; il cherche son reflet dans quelqu'autre chose et il trouve l'être ontologique comme la condition de la pensée de cet objet. C'est la pensé en soi (= la pensée pure)! Elle est la pensée nécessaire comme la condition de la connaissance. D'autre part, la raison humaine possède l'être spirituel et l'être ontologique, mais non l'être ontologique pour la condition de la connaissance. La connaissance de la connaissance reste ainsi inaccessible et l'homme conséquement ne comprend pas soi-même. La réalité de l'homme devient
la pensée (= réalisé) impure comme le don de la nécessité.
La pensée impure est toujours à cause de cela pleine d'incertitude.
L'absence de la pensée (= non réalisée) dans la raison nécessaire est la conséquence de la présence immédiate de la connaissance. Ainsi la
pensée nécessaire ne cherche rien dans la réalité de la nécessité. Elle est obéissante seulement à la logique nécessaire. Une telle logique transcende toutes possibilitées contingentes: elle est insurmontable pour la raison contingente. Cela veut dire: elle ne permet pas la liberté du choix aristotélicienne «tout vrai ou tout faux (= le tiers exclu)». Chaque état de la logique divine n'est ni vrai ni faux, mais seulement nécessaire. D'ici suit:
–
la logique nécessaire reste pour toujours intraduisible au moyen de la logique contingente.
C'est clair. Pourquoi?
La pensée de soi-même dans la contingence est le vide de l'être en soi comme la conséquence de la naissance de l'homme à la contingence. Cette privilège n'appartient qu' à l'être nécessaire (= Dieu). Elle est la source de la puissance sans limitation (= l'Universe n'est qu'un «point» dans l'«espace» de Dieu):
–
l'être ontologique et l'être spirituel sont les mêmes dans l'identité du mystère de la nécessite.
D'ici suit que Dieu comprend tout au moyen de soi-même. Le monde comme la dérivation de Dieu ne peut pas exister hors de Dieu. L'absence de l'être spirituel pour la pensée de soi-même résulte d'autre part logiquement dans la thèse de Sartre: l'homme est l'échec. Mais Sartre par malheur n'a pas vu et n'a pas trouvé la cause de cet échec.
Une autre chasse de l'esprit humain a lieu dans la sphère de l'âme. Elle fini avec la naissance du sentiment. Il cherche sa détermination avec les relations spirituelles sans les relations ontologiques de la logique. Le sentiment est conséquement un fait spirituel sans la possibilité de la preuve au moyen de la logique.
Donc!
Où est la «volonté» comme le sujet de l'activité «je veux»?
Une relation avec la logique est inévitable. Mais, d'autre part, les possibilités comme «motivation», «désir», «curiosité», «tendance», «inclination», … n'appartiennent pas à la logique:
–
elles ne sont que les «composantes» cachées de la liaison avec la logique transcendentale.
Où sommes-nous?
Nous sommes évidemment dans le brouillard de la liaison entre les deux rives de la connaissance.
Je propose donc la considération d'un problème sans issue: est-ce que la nature materielle montre sa présence d'après la voix de la présentation des pensées à la raison? Ou: la forme d'existence est-elle comparable entre la réalité materielle et la réalité spirutuelle?
La loi de Lenz est déjà bien connue aux élèves à l'école: un circuit soumis à un flux magnétique variable est le siège d'une force electromotrice avec la conséquence appartenant seulement à la nature
–
le courant induit s'oppose par ces effets à la cause qui lui donne naissance.
D'autre part ma question devient:
– est-ce que la forme de cette loi existe au fond de la réalité humaine?
ou
– est-ce que l'acte de la raison s'oppose par ces effets à la cause qui lui donne naissance?
L'homme relaxé pendant la nuit pose à soi au matin la demand simple:
– qu'y-a-t-il de nouveau dans ma raison?
La reponse annonce souvent:
– «rien».
C'est très bien! Pourquoi?
Ici est l'état de la contemplation: je suis seul avec mes sentiments - je les sens. Et vraiement: je ne sens pas que j'ai besoin de penser! La resistance contre la pensée (= «je ne veux pas penser») se trouve évidemment au fond de mon existence.
Donc!
Le sentiment «en soi» rejete la pensée de la perturbation venant comme la cause du sentiment «pour soi». Et je crois donc à la pensée de Sartre: l'état «penser» est la nausé. Alors je suis heureux et je n'ai rien à penser.
Mais!
Le bonheur est aussi souvent de la durée courte: j'ai une visite!
Qui est?
Mon ennemi: la pensée! Trop tard! Elle est venue! Comment?
Mon esprit réagit comme la victime d'agression: il cherche la forme de la resistance! Sans succès. La tromperie est complete.
La guerre commence!
Avec le contenu de la bataille:
–
le sentiment «resistance» (= «je ne veux pas penser») est plus faible que la décision de la raison «je commence à penser» –
Quel malheur!
La pensée a vaincue finalement: je commence à penser!
La loi de Lenz prend maintenant la forme:
–
le sentiment «= je ne veux pas penser» s'oppose par ces effets «= l'état de la contemplation» à la cause «= la possibilité de la liaison avec la pensée» qui lui donne naissance.
La pierre comme l'objet de la physique contient nécessairement l'être ontologique qui se trouve comme la possibilité ou la condition de la pierre sous son existence physique. Si non, elle ne puisse pas être pensée dans l'être mental de l'homme.
D'ici est venue l'idée: le comportement physique comme l'image du comportement ontologique peut être facilement une indication pour le comportement mental.
Mais très intéressant!
Je pense en avant contre la cause de ma pensée. Où est la «force» qui me pousse de penser? Je la déteste!
Le don de la connaissance est la surprise avec la conséquence: le sentiment «acceptation» de la pensée est finalement né. Où: le sentiment «acceptation» s'oppose au sentiment «resistance» sans ma connaissance! Comment? Je n'ai aucune idée à l'exception de fait:
–
la décision «acceptation» de la raison provient du sentiment «acceptation» –
et
–
le sentiment «acceptation» est justement ma volonté.
Est-ce que je sais maintenant ce que j'ai voulu rencontrer et dévoiler comme l'apparition «volonté»?
Non!
Ma reconnaissance «volonté» n'était ici qu'un résultat d'errer entre les pensées et les émotions sans la possibilité de l'intervention de la logique. Et je ne sais rien de la volonté!
C'est encore un miracle d'existence!
Ici est le contenu (
«Les problemes de l'humanité» d'Alice A. Bailey):
« … Les différends dans les familles, entre les églises, dans les municipalités, dans les villes et les nations, entre races, et les conflits internationaux demandent tous le même objectif et le même processus d'ajustement:
l'établissement de justes relations humaines. La technique ou méthode pour réaliser cela reste partout la même:
l'usage de l'esprit de bonne volonté.»
du tout.
L'esprit de bonne volonté dans la science est conditio sine qua non!
Pourquoi?
L'incompréhensibilité de la volonté est sùrement une conséquence de l'apparition de la contingence. Le cadre du problème est la pure transcendance de la nécessité.
Le sens de la vie n'est rien que l'essai de l'esprit humain: comment conquérir l'impression d'un fait sans la compréhension (= ultima ratio aussi sans la possibilité de la présentation) qui se trouve dans le mystère «nécessité». Qu'est-ce que en général la «contingence»? Elle est évidemment un jeu de la réalité pensante qui nous ne permet pas l'accès à la connaissance intégrale.
Pourquoi?
Ici n'est qu'une possibilité: nous sommes punis! C'est un problème de la théologie. Et je l'évite ici. Il m'interesse ici seulement la conséquence de la punition.
Le cadre de la contingence est la pure tromperie:
–
les notions «espace», «temps», «matière» … sont les produits objectives de l'expérience sans la compréhension subjective –
parce que
–
les notions «point», «infinité», «nombre» … sont les produits subjectives de l'abstraction sans l'existence objective.
L'issue existe-t-elle à la contingence?
Non!
L'issue existe-t-elle à la nécessité?
Oui!
Le cadre de la nécessité est clair:
–
les notions «espace», «temps», «matière» … contiennent les êtres ontologiques seulement dans la raison nécessaire (= elles sont les pensées avec la possibilité de la conversion à la réalité de la physique)
parce que
–
les notions «point», «infinité», «nombre» … contiennent aussi les êtres ontologiques dans la raison nécessaire (= elles sont préparées pour la «compréhension» intuitive du monde sans la compréhension possible).
Nous sommes d'ici les prisonniers de la contingence avec le don «=réver de la connaissance totale» de Dieu. Et ne sachant rien de la volonté.
Et justement ici est l'image:
«la matière dans la structure de l'espace-temps» est «l'imprimé» causé par le comportement des «fonctions ontologique» hors de la physique.
Notre destination ultérieure est ainsi la réalité ontologique sans la limitation de l'existence et de la vie. L'incompréhensibilité de la volonté était toujours pleine de mon désespoire:
«l'état pur» était souvent «le compte impur»
ou
«l'état impur» était souvent «le compte pur».
Ici est l'impureté de la contingence comme la cause de l'échec de la moralité. Ces situations sont inévitables. Nous sommes les pécheurs.
Je suis aussi d'accord avec Bertrand Vergely
«la politique commence à l'intérieur de nous»
parce que la politique ne peut être l'autre chose que la manifestation de la volonté. En passant de l'enfant qui sait très bien où est son désir (= l'interêt) dans la famille. Il est un politicien. Et la santé sociale de la vie dépend déjà de lui.
Penser de la volonté n'est rien qu'un essai de comprendre l'impossibilité de la compréhension de la volonté. C'est clair: l'objet ontologique de l'incompréhensibilité de la volonté existe. Cet objet contient en soi l'impression de l'impossibilité de la volonté. Il porte aussi une pensée en soi: elle est l'impression de la volonté. Où est-t-elle? Dans la force d'imagination! Elle nous conduit dans la réalité nécessaire sans la compréhension dans la contingence. Là-bas se trouve l'assemblée immense des êtres pour la totalité des pensées nécessaires. Elles sont fermées «en-soi-pour-soi» comme les faits incontestables de la nécessité. En même temps elles sont ouvertes pour la diversité des opinions hors de la nécessité dans la réalité de la liberté contingente. Ici est le don de Dieu à la contingence. Le choix de la vue humaine conduit sa pensée conséquemment
–
soit à la conscience (= elle provient de l'esprit de bonne volonté) –
–
soit à la conviction (= elle provient de l'incertitude de la pensée impure).
J'ai aucune preuve pour la préférence. Mais le caractère mystérieux de la volonté et l'impureté de la pensée étaient la raison pour mon choix: je préfére la conscience, non la conviction (= elle est souvent très dangereuse).
Le certitude de la rencontre avec la réalité nécessaire est la condition de la paix. Mon destin est le produit d'une liberté donnée par le créateur pour ma vie: j'écoute ta voix en paix. Et rien que l'âme est mon guide:
«Mon cœur s'ouvre à ta voix»
Rien plus du tout.
Page d'accueil – Hauptseite