L'unité nécessaire de l'existence ontologique et l'essence spirituelle

Le programme de Hilbert, comme l'essai le plus important en mathématiques, a été mise en échec par le théoreme d'incomplétude de Gödel avec le résultat : la vérité axiomatique ne peut pas être confirmé. Cela signifie conséquement que la contingence ne permet pas la totalité de la connaissance. La conquete des mathématiques est d'ou sans espoire: la fonction enigmatique de la raison était crée sans évidence de la connaissance a la structure du fond de la raison. Le secret de la raison régne. Comment?

Nous ne comprenons jamais comment nous savons quelque chose. Et ne sachant rien de cela, nous sommes forcé d'accepter: la condition de la connaissance est absent; elle n'est pas satisfaite. Mais comment la connaissance émerge malgré l'absence de sa condition? Il nous reste seulement une possibilité de la réponse: la connaissance est la donnée de la raison nécessaire avec une conséquence – elle s'introduit comme la reconnaissance de la raison contingente. La raison humaine doit posséder l'être spirituel avec lequel elle reçoit la connaissance limitée venant de l'être ontologique, qui travaille sous la commande de la raison nécessaire avec la condition de la connaissance. Cet être ne peut pas être autre qu'il est; il est inconcevable qu'il ne soit pas!

Russell et Cassirer, par exemple, ont eu raison: notre raison n'est pas l'auteur de la connaissance. Et moi, je n'ajoute qu'elle est l'interpreteur de la connaissance venant de la raison nécessaire sous la forme de la reconnaissance réalisée par l'être contingent dans la raison humaine. Alors: l'être parfait comme l'être nécessaire est la source de la connaissance humaine! Sans cet être nous ne saurions rien.

Résumons!

L'être ontologique de l'objet de la raison humaine ne se trouve pas dans la raison; il est hors de la raison. Mais il est pensé avec l'être spirituel (comme la donnée de l'être nécessaire) dans la raison contingente. Le nombre 2 (un exemple de Russell), comme la propriété de l'ontologie, doit être reconnu comme l'Amérique par Christophe Colomb.

D'autre part l'être nécessaire ou l'être parfait est l'être composé avec la condition de la connaissance dans l'equation de la vérité ultime

l'être ontologique = l'être spirituel

qui nous dit: le proces ontologique (hardware) et le proces spirituel (software) sont liés comme les mêmes. Alors! Il s'agit d'unité des événements ontologique avec la compréhension spirituelle dans la raison nécessaire:

le statut “existence” = le statut “essence”

ou

“existence” est pensée et comprise par “essence”, (software)

et

“essence” est ordonée et gouvernée par “existence” (hardware)

nous conduisent de conclure:

l'objet pensé “est” dans l'objet ontologique

et

l'objet ontologique “existe” dans l'objet pensé

avec la conséquence

“est” et “existe” sont les mêmes.

Cette réalité absolue appartient (avec sa raison d'être en soi) a l'existence du Dieu: elle ne peut pas ne pas être. Sans cette réalité nous ne comprendrions rien. Dire que Dieu est par soi, c'est dire que son essence rend compte de son existence parce qu'elle a même temps l'exige et l'inclut. Ici est naturellement le conflit avec Kant. Il a développé l'argument selon lequel l'existence n'ést pas un prédicat. Pour moi il est, a cause de cela, la victime de la connaissance.

Ou est la frontiere derniere de la physique? Elle peut être réduite a l'aide des mathématiques aux mathématiques de la logique. Cette réduction de la physique a la logique était l'idée de John Archibald Wheeler. La station derniere de cet idée doit être évidemment la raison avec sa rôle aux champs de la physique quantique! Le fait confirmé nous dit: le résultat d'expériment dépende de la décision d'expérimenteur. Alors: la théorie quantique permet la réponse, non venant de la physique, mais de l'ontologie. Pourquoi? La frontiere derniere de l'objet physique est l'être ontologique de cet objet (= non appartenant a la physique) avec lequel l'objet physique peut être pensé dans la raison. Il faut maintenant appuyer encore une fois: l'objet de la physique ne peut pas être pensé dans la raison sans son être ontologique. L'être ontologique de l'objet de la physique est la condition de la pensée laquelle contient cet objet dans la raison. La raison ne sait rien de la physique, qui est pour soi totalement differante. D'autre part le monde de la physique ne serait jamais né sans l'existence de la réalité correlative laquelle porte le destin ontologique de la physique. La physique est l'enfant d'ontologie: “rien ne se perde, rien ne se crée, tous se transforme ... “ permet de mieux appréhender un rien existentiel, non le néant. Pourquoi? “Rien existentiel” est ici l'être ontologique, le néant est d'autre part le non-être sans l'existence ontologique. Comment? L'état d'inexistence est non-sense!

“Rien existentiel” comme “le vide existentiel de la physique” est la source d'energie sous l'aspect d'existence ontologique. Mais le néant n'est pas le vide et réciproquement. La déclaration “Ce qui vient du néant et retournera au néant, cela est d'ailleurs souvent représanté par l'adage “Tu étais poussiere et tu redeviendra poussiere”, (La Bible)” est donc fausse. La “poussiere” est l'être ontologique (il existe), non le non-être (il n'existe pas). Le néant est inconnu.

Ou est donc raison d'être du néant? Le néant n'existe pas par définition de la notion. Par conséquent son être ontologique n'existe pas. Le non-être ontologique comme une présence d'inexistence ou une absence d'existence est simplement une expression d'absurdité. Il est non-sens. Nous avons ainsi seulement une possibilité d'explication a la disposition: l'être spirituel (essence), comme emanation possible d'existence, cherche au nom de la raison l'existence perdue. Cependant elle n'existe pas. Mais la raison insiste en cherchant ce sort d'existence a travers des êtres appartenant aux sentiments. Ils existent avec la passion de créer l'être de la peur. L'essai peut ainsi terminer avec le succes: en ce cas, l'horreur est née! Elle s'appelle le néant. L'être de la peur n'est pas un être de sentiment. Il est un monstre car son être émerge du sentiment sans sentimentalité: l'existence réelle d'inexistence est la négation universelle de la conception d'être; elle est l'objet de la guerre divine pour le sens. Dieu opére avec une arme unique: c'est l'harmonie des êtres. Dans cette guerre Dieu a besoin de l'homme. Pourquoi? Nous ne savons pas. Nos sentiments sont probleme. Est le comportement d'une fourmi décisif pour l'issue de la guerre? Est ici la responsabilité de la fourmi? Je crois ne sachant rien: oui!

Je céde le mot final a l'autorité de Mahatma Gandhi:

“Si nous étions parvenus a la pleine vision de la Vérité, nous ne serions plus des chercheurs, nous serions devenus un avec Dieu, car la Vérité est Dieu. Mais, puisque nous n'en sommes encore qu'a chercher, nous poursuivons notre recherche et nous sommes conscients de notre imperfection. Or, si nous sommes nous-mêmes imparfaits, la religion telle que nous la concevons doit être imparfaite aussi. Nous n'avons pas réalisé la religion dans sa perfection, de même que nous n'avons pas réalisé Dieu. Puisque la religion telle que nous la concevons est imparfaite, elle est toujours susceptible d'évolution et de ré-interprétation. Le progres vers la Vérité, vers Dieu, n'est possible qu'en raison de cette évolution”.



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